Oui, à défaut de pouvoir proposer une « démobilité » sur laquelle on n’a pas de prise, on peut agir sur les infrastructures. Pour les voies cyclables il y avait une très chouette proposition dans cet article partagé ici il y a quelques temps : Le vélo, la campagne et le quotidien : trouple impossible ? - Autrement Autrement
J’ai l’impression que c’est appropriable par des élus locaux.
Par contre ce genre de chemins demande des véhicules avec bonnes suspensions (testé et non approuvé en vhélio 
)
2 « J'aime »
Il me semble évident que relocaliser c’est la clef à moyen et long terme, et nous avons toutes et tous un moyen de l’accélérer en discutant de ses multiples avantages autour de nous et en le demandant aux élu.es, en achetant local (pas seulement la nourriture), faisant tourner les petites structures plus locales par définition, etc. 
Ça vaudrait peut-être la peine de creuser le sujet, faire un groupe de travail, proposer des moyens de communication, …?
1 « J'aime »
Ce sujet se travaille dans le GT proto et indus GT Prototype et Industrie XD — Communauté de la Fabrique des Mobilités cc @virgilebourlet
1 « J'aime »
Croissance de vente des véhicules sans permis neufs et occasions : Intelligence Auto - la newsletter du marché automobile - AAA DATA
1 « J'aime »
Etude sur les « microcars » dans les services de voiture partagée / en libre service Microcars in EU Carsharing: Download Our Free Guide
cc @tatianabonnet
PEUT-ON SE PASSER DE LA VOITURE HORS DES CENTRES URBAINS ? étude sur les solutions pour les territoires ruraux
https://msh-paris-saclay.fr/wp-content/uploads/2021/06/MSHPS_Actes07_Pernollet_Article.pdf cc @yaelbenayoun
1 « J'aime »
A refléchir du point de vue des vélis en milieux ruraux:
2 « J'aime »
Nouvelle étude sur les mobilités rurales, en panne de mobilité : Territoires ruraux : en panne de mobilité | Secours Catholique - Caritas France
1 « J'aime »
Très bonne analyse, vivant en zone rural, je confirme leur constat. La grosse difficulté va être de convaincre que les vélis sont des solutions économique de déplacement à un public qui se serre la ceinture sur tout . Pour ceux capable de pédaler, ce serai un investissement fructueux a très long terme, mais encore faut-il être mesure d’investir.
1 « J'aime »
Tout le monde a intérêt à ce que les gens soient dans des Vélis. Il faut vraiment trouver des moyens de réduire la barrière à l’entrée pour les volontaires n’aient aucun problème à les utiliser au quotidien.
1 « J'aime »
Oui, ou alors qu’il y ait rapidement un marché de seconde main, par exemple des flottes de véli en libre service en zone urbaine pourrait facilement trouver preneur après avoir été amorti sur 2 année d’exercice.
Sinon l’étude du Secours Catholique est quand même un peu défaitiste. Certe les revenus des zones rurales sont plus faibles, et les frais de déplacements plus élevé, par contre se loger coute moins cher, il est possible de faire un jardin, de faire son bois, d’avoir des poules etc… Et surtout il y a de la place ! Ce sont de bon endroit pour produire des vélis, la diagonale du vide est presque une zone low-cost (bas loyer et bas salaires). Comme l’espace disponible est la seule chose qui n’est pas en croissance perpétuelle, je crois beaucoup à l’avenir de ces territoires, rien n’est écrit d’avance.
2 « J'aime »
En fait, l’informel, les échanges non monétaires, l’autoproduction ne sont pas comptabilisés. Ce qui biaise le constat. Je te rejoins sur l’avenir des territoires ruraux !
1 « J'aime »