Mon avantage préféré du freinage régénératif est qu’il permet de lisser la difference de consommation finale lors de trajets avec de forts dénivelés. Cela signifie qu’il est possible d’avoir une batterie légèrement plus petite pour assurer la même autonomie sur des parcours variés avec un véhicule donné.
De la même manière, le pédalage actif a une contribution enérgetique sur un VELI léger qui est moins importante que sur un VAE. Cependant, cela permet encore une réduction de la capacité de la batterie nécessaire pour un trajet donné.
Moins de batterie signifie également un bilan carbone réduit et un impact environnemental moindre.
Des données intéressantes sont disponibles ici (avec plein d’infos à propos du freinage régénératif). Pour résumer, les chiffres de pourcentage de recuperation qu’il montrent sur :
-Longs parcours à vélo en campagne = 1-2%
-Typiquement à Vancouver (arrêts fréquents) = 5-8%
-Chargé avec de nombreuses côtes = 10-15%
Par ailleurs, Ecosunriders ont publié ici et ici des analyses très intéressantes sur leur ‹ tiltdragonfly ›, avec des résultats de régénération captivants.