Légerté et sécurité, où placer le curseur?

Voici un sujet qui revient quelque fois sur la table sur lequel nous souhaiterions consolider l’argumentaire. La philosophie du véhicule intermédiaire emmène les constructeurs à imaginer des objets roulant très légers, sobres, et efficaces. A l’inverse, l’histoire de l’automobile sur les dernières décennies a été une sur-enchère d’accessoires et de fonctionnalités augmentant la sécurité et le sentiment de sécurité des passagers. Alors voilà, certain s’interroge sur la sécurité des véhicules légers, n’est ce pas inconscient de rouler sur la route avec de tel objet ? La réflexion est légitime, à force d’avoir été habitué à un niveau très élevé (trop élevé ?) de sécurité, le pas à franchir est peut être trop grand. Alors, où doit-on placer le curseur entre légèreté et la sécurité quand on est constructeur ? Quels sont les arguments pour défendre la légèreté ? Concrètement, quels sont les éléments minimums de sécurité à avoir et au contraire, quels sont les éléments inutiles ?

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Tout dépend… de la vitesse.

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Et du type de véhicules (leur poids) qui partagent la même route…
(n’importe quel SUV, n’a aucune chance lors d’une collision avec un camion chargé)

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A traduire en francais sur vos navigateurs:

La classe des véhicules jeunes des véhicules légers n’a été vue dans la circulation routière que depuis peu et nous acquérons lentement une expérience importante de la vie quotidienne. Les exigences de sécurité du législateur sont encore trop imprécises. Les réglementations existantes doivent maintenant être adaptées aux conditions réelles. Les fabricants peuvent alors également réagir et améliorer leurs modèles. Toutefois, cela se reflétera également dans le prix. Mais c’est l’occasion d’établir une mobilité de la lumière de manière sûre et fiable dans la circulation routière.
Les résultats de l’essai de choc de DEKRA et « auto-mobile » peuvent être lus ici:
Horror-Ergebnis beim Crash: Lebensgefahr im Leichtfahrzeug | AUTO MOTOR UND SPORT

En choc frontal a 45km/h, il y a un risque de mort pour le conducteur d’une Citroen Ami:

Déclaration Stellantis

C’est ce que disent Citroen, Opel et Fiat à propos du résultat de l’essai de choc: "Les véhicules légers tels que la Citroen Ami ne sont pas soumis à la réglementation relative aux véhicules ordinaires, mais pour réglementer la L6E, qui ne fournit pas ou ne nécessite pas d’essai de choc pour l’homologation. Ces objets de mobilité sont principalement destinés à être utilisés dans les villes comme alternative aux scooters, aux vélos ou aux motocycles et offrent davantage de sécurité et de protection contre la pluie ou le froid dans leur but.»
"L’Ami offre toutes les précautions de sécurité que vous pouvez attendre d’un véhicule léger moderne à quatre roues, y compris des ceintures de sécurité et une construction adéquate pour les deux occupants, ainsi qu’une cabine entièrement fermée. Le véhicule léger est basé sur une construction de tubes en acier, qui est conçue pour résister à un choc avec une vitesse maximale de 45 km/h et offre une très bonne visibilité globale. La technologie d’éclairage moderne assure un bon éclairage et garantit que le véhicule léger est nettement plus visible pour les autres usagers de la route que des moyens de transport comparables. À cet égard, le véhicule léger augmente considérablement la sécurité de l’utilisateur par rapport à un scooter, une bicyclette ou un motocycle.»

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