Formation et réseau après-vente pour VELIs

Bonjour à tous,
Nous avons échangé lors d’un atelier à Millau sur les pistes envisageables pour le futur réseau après-vente, les choses à mettre en place pour la maintenance à venir des VELIs, etc…
Personnellement je commence à chercher en région Rhône-Alpes des centres de formations qui pourraient former les technicien(ne)s intermédiaires, et voici ce que j’ai trouvé sur le site: Centre de formation vélo pour vous former - Organisme Vélo
Je ne pense pas qu’une filière spéciale va se développer donc j’imagine que les VELIs à pédales jusqu’à 45 km/h vont plutôt aller dans le réseau « Cycle » (avec pont élévateur pour les 3/4 roues !) alors que les plus rapides vont créer des partenariats avec le réseau auto/mobilité qui font déjà les AMI, BIRO, etc…

L’idéal serait un centre de formation qui rassemble les deux mondes, (voire les 3 avec la moto !) comme Technopolys -Erier près de Chambéry mais apparemment il ne propose que des formations « scolaires » et longues à destination des jeunes en scolarité.
Même la formation Cycle est sur 12 mois en alternance et fait 553h.
Il va falloir que la formation institutionnelle s’intéresse aux VELIs mais aussi que toute une partie du réseau existant se forme pour intervenir sur nos véhicules. (avec organismes type GNFA mais ce dernier est déjà en surchauffe Hi-Tech avec les nouvelles technologies, ADAS, VE, véhicules connectés, etc…)

Avez-vous déjà des informations, des contacts, des idées, etc… pour former un futur réseau après-vente ? car c’est aussi important si l’on veut que les VELIs se vendent…
Personnellement j’ai appelé des centres de formation « Cycle » qui proposent des formations plus courtes et tout public (y compris VAE) mais il n’y a encore rien sur les nouvelles technologies, pédalier avec boîte de vitesses auto, génératrices d’électricité à pédales, recharge avec panneaux solaires, etc…
A suivre !

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Excellente et importante problématique!

Vous en avez parlé avec les https://lesboitesavelo.org/ ?

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Pas encore, merci, je leur envoi un mail !

jusqu’à présent on contourne un peu le problème du SAV dans la communauté vhélio puisque les propriétaires de véhicules ont normalement été formés à la réparation en apprenant à les fabriquer, mais on va y être confronté.
Les personnes qui achètent sans avoir appris à réparer se retrouvent dans ce genre de situation : À ROSTRENEN, recherche électro-vélociste - Communauté vhélio
(au passage, si vous avez une idée pour l’aider :wink: …)
d’ailleurs j’avais jamais entendu ce terme « électro-vélociste ». ça s’appellera comment un garagiste pour vélis ?

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En effet c’est un gros problème à mon avis, ça cantonne pour l’instant les VELIs à un public très restreint de gens vraiment motivés !
Honnêtement je n’ai pas encore trouvé un professionnel à 50 kms à la ronde qui ne conscent seulement à s’intéresser aux VELIs…
Et en milieu rural il n’y a pas de triporteurs donc les velocistes (y compris electro! :grin:) n’ont pas d’équipement avec pont élévateur, etc… Ils font que des vélos !

Bonjour à tous,

Suite au salon de Laval (10-12 décembre 2024), j’ai l’impression que les véhicules intermédiaires vont se scinder en 2 ou 3 catégories :
Les véhicules sans permis avec les véhicules roulants à moins de 25 km/h et les véhicules roulants à moins de 45 km/h
et les véhicules nécessitant le permis B avec les véhicules roulant à plus de 45 km/h.
De mon côté, je pense donc que 2 et même 3 filières de distribution et de SAV vont se distinguer selon ces catégories de véhicules.

Il me semble plus simple de scinder ces 2 ou 3 filières du point de vue SAV, permettant ainsi d’intégrer plus aisément la catégorie moins de 25 km/h chez les réparateurs de vélo classique, d’avoir une filière pour la catégorie moins de 45 km/h et la catégorie plus de 45 km/h chez les garagistes auto.
Je pense que le niveau de connaissances et de formation doit se faire en fonction du niveau de sécurité requis pour ces véhicules (essentiellement dû à la vitesse).

J’ai réfléchi récemment à des réseaux de distribution, d’entretien et de réparation de vélis. J’ai trouvé de l’inspiration dans le réseau « Cyclable ».
Les véhicules intermédiaires étant assez différents les uns des autres, je pensais que les constructeurs devraient s’appuyer sur un réseau de distribution et de SAV (à créer) selon la catégorie de son véhicule et lui fournir des fiches commerciales et des procédures d’entretien et de réparation pour chaque composant du véhicule.
Ces réseaux donneraient des agréments à des indépendants, géolocalisés en France et en Europe, pour un véhicule spécifique suite à la formation de 1 à 2 journées réalisée dans un premier temps par le constructeur lui-même, puis ensuite par le réseau.
Les constructeurs et ces réseaux pourraient également dispenser ces formations aux particuliers pour qu’ils puissent entretenir et réparer leur véhicule eux-mêmes.

Au plaisir de lire vos réflexions !

Podbike (Véli jusqu’a 25km/h) a pris ce chemin: Podbike geht Partnerschaft mit WUNDERFiX ein

Après pour les Vélis actifs jusqu’a 45km/h, je pense que rester sur le réseau de maintenance vélo (cargo et speed-pedelec), est une option plus realisable que d’essayer de faire le lien avec les garages de voitures.

Dès qu’on passe a des véhicules (non actifs, sans pédalage, sans chaine, plus lourd que 150kg, …) comme l’Ami, le mobilize Duo, la « bagnole » de Kilow, donc le segment « microEV » de Mobilians, la je suis d’accord que le choix plus naturel est le reseau traditionel de maintenance des (micro/mini-) voitures.