Face aux enjeux sanitaires liés à une mauvaise qualité de l’air et à la problématique du dépassement des valeurs limites réglementaires des concentrations dans l’air pour les particules (PM10 et PM2,5) et le dioxyde d’azote (NO2), plusieurs pays européens ont mis en oeuvre depuis les années 2000 des zones dont l’accès est interdit aux véhicules les plus émetteurs de polluants atmosphériques que sont les particules (PM) et/ou les oxydes d’azote (NOx) : les zones à faibles émissions (Low Emission Zones).
Les ZFE ont le mérite de parler de qualité de l’air, de mettre sous contrainte les véhicules anciens. Mais plusieurs critiques sur la ZFE peuvent être présentées. En complément des actions menées sur les ZFE, nous explorons avec des territoires volontaires partenaires d’autres pistes pour changer les pratiques de mobilités et ainsi améliorer la qualité de l’air. Il s’agira notamment d’offrir aux décideurs de nouveaux leviers d’actions socialement acceptables. Nous lançons un Appel : à des territoires volontaires pour réfléchir avec nous, apporter des cas concrets, expérimenter, des opérateurs de transport et mobilité pour fournir des “justificatifs ou preuves” permettant de produire un POC et à des fournisseurs de « preuves » pour construire un POC ZFE !
(Lien vers la Page Wiki ZFE)